Des autres cultures il y en avait. D'abord la luzerne, pour le fourage des animaux, mais aussi pour mettre de l'azote en terre, c'est plus sympa que les engrais. Souvent cette plante était semée en même temps que le blé, mais comme elle pousse moins vite, elle prend son essor sur les chaumes.
La luzerne était fauchée, puis une machine passait pour la soulever de terre la faneuse, soit avec des fourches animées par les roues, soit des roues inclinées qui grattaient le fourage et le ramenait en andins. On utilisait aussi le rateau qui se soulevait quand on appuyait sur la pédale pour également faire des andins .
Ensuite le fourrage était mis en motte à la fourche, il était roulé.
On installait dans le champs les support de meule à savoir 3 piquet de bois de 2,5 à 3 mètres de haut, reliés entre eux en haut et sur chaque côté on fixait à 50 cm du sol des bois horizontaux. Ainsi il y avait une carcasse de tente indienne. Le foin était amené sur ces supports, le centre restant aéré, ce qui permettait d'avoir un bon séchage avant de la rentrer soit en vrac soit en botte après le passage de la presse.
J'ai participé aux foins et manié la fourche à 3 dents, spécifique au fourrage. C'était toujours par de chaudes journées, et le repos de 9 heures ou de 16 heures était le bienvenue pour se mettre à l'ombre d'une meule ou mieux d'une garenne et boire l'eau mélangée de café qui restait frais la bouteille entourrée dans un journal mouillé.
Une autre culture plus confidentielle a été celle du colza. Les graines récoltées remplies d'huile, bien ronde en faisait tomber plus d'un lorqu'elle étaenit entreposées dans le grenier. Le colza était manié avec une pelle de bois.
On eut vers la fin des années d'exploitaion la culture industielle des haricots verts et des petits pois. Pour ces derniers, une particularité, il fallait travailler le soir et la nuit pour les récolter et les livrer de suite à la conserverie sinon la récolte ne supportait pas la chaleur et tournait Sur la vidéo qui suit la récolte des petits pois.
semée en même temps que le blé, mais comme elle pousse moins vite, elle prend son essor sur les chaumes.
On installait dans le champs les support de meule à savoir 3 piquet de bois de 2,5 à 3 mètres de haut, reliés entre eux en haut et sur chaque côté on fixait à 50 cm du sol des bois horizontaux. Ainsi il y avait une carcasse de tente indienne. Le foin était amené sur ces supports, le centre restant aéré, ce qui permettait d'avoir un bon séchage avant de la rentrer soit en vrac soit en botte après le passage de la presse.
envenue pour se mettre à l'ombre d'une meule ou mieux d'une garenne et boire l'eau mélangée de café qui restait frais la bouteille entourrée dans un journal mouillé.
